
Émile Poirier : «un recul nécessaire» pour atteindre le rêve
TVA Nouvelles
Si Émile Poirier voulait voir l’Europe après un passage dans l’organisation des Jets de Winnipeg, le périple n’a pas déçu : Slovaquie, Lettonie (via la Russie) et la Suède. Trois pays (quatre avec la Russie) en moins de deux ans. C’est presque une tournée d’artiste pop, à l’instar de Billie Eilish ou du toujours fringant quatuor Duran Duran.
Mardi, l’ancien choix de premier tour des Flames de Calgary a mis fin au volet globe-trotter de sa carrière en paraphant un contrat d’un an à deux volets avec le Rocket de Laval. Il a lui-même offert ses services au Club de Hockey Canadien afin de se rapprocher de sa famille.
Ci-dessus, voyez l'entrevue avec Émile Poirier.
«J’avais des options. Ça faisait deux ans que je jouais en Europe et j’ai tâté le terrain à savoir quelle était l’opportunité qu’ils pouvaient m’offrir ici, a-t-il raconté mercredi le temps d’une discussion virtuelle avec le TVA Sports.ca.
«Je suis extrêmement content de rester ici et de pouvoir jouer devant ma famille et mes amis depuis... je ne me rappelle même plus de la dernière fois!»

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.












