
«Je me suis acheté un Hummer et je ne savais pas c’était quoi»: Maxim Lapierre n’a jamais accordé d’importance aux achats luxueux
TVA Nouvelles
Être l’un des meilleurs de son sport ne rime pas toujours avec millions de dollars dans le compte en banque et voitures de luxe. Plusieurs athlètes québécois, peu soutenus financièrement, en arrachent et font des sacrifices afin de pouvoir continuer à pratiquer leur discipline: travailler jusqu’aux petites heures du matin, renoncer à être propriétaire, dormir en pension lors des tournois...
Le Journal vous propose une série de reportages sur les deux côtés de la médaille: celui des athlètes les plus riches et celui des athlètes les plus pauvres.
Quand la carrière de Maxim Lapierre a commencé à lever dans le tourbillon du Canadien, il n’était pas question de partir sur une dérape avec un compte en banque soudainement mieux garni.
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Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











