Walmart se dissocie des propos anti-vaccins d’Anne Casabonne
TVA Nouvelles
Walmart Canada se dissocie des propos de son ancienne porte-parole, la comédienne Anne Casabonne, qui compare les vaccins contre la COVID-19 à de la... «grosse marde».
La comédienne connue pour ses rôles dans les séries «District 31» ou encore «L’Échappée» a écrit un long message devenu viral hier sur Facebook. Elle y dénonce principalement les vaccins contre la COVID-19 et partage plusieurs fausses informations liées à la pandémie.
Mme Casabonne a même qualifié de «clowns» le premier ministre François Legault et le ministre de la Santé Christian Dubé. «Donc, quelle est cette cochonnerie qu’on ose appeler “vaccin”, si un vacciné doit avoir peur d’un non-vacciné», dénonce Anne Casabonne, âgée de 51 ans.
Au lendemain de cette publication, Walmart Canada a confirmé au Journal que la comédienne a cessé d’être la porte-parole de leurs pharmacies au printemps dernier, alors qu’elle occupait cette fonction depuis 2014.
«Walmart Canada et les pharmaciens affiliés à Accès Pharma chez Walmart ne partagent pas les opinions exprimées par Anne Casabonne dans ses publications sur les réseaux sociaux», mentionne brièvement le porte-parole de l’entreprise au Québec, Steeve Azoulay.
Ce dernier n’a toutefois pas précisé si le contrat avec l'artiste a été rompu en raison de ses propos contre les vaccins.
Vendredi après-midi, plusieurs vidéos d’Accès Pharma qui mettent en vedette Anne Casabonne ont été supprimées sur les réseaux sociaux, mais le Journal en a enregistré des copies.
La comédienne avait d’ailleurs tourné une vidéo pour Walmart en octobre 2020 où elle faisait la promotion des vaccins contre la grippe avec un masque.
Les négociations entre le syndicat des deux plus grandes entreprises ferroviaires au Canada et leurs employeurs sont au point mort depuis les six derniers mois. Le 1er mai dernier, le syndicat représentant près de 10 000 employés du Canadien National (CN) et du Canadien Pacifique Kansas City (CPKC) avait obtenu un mandat de grève.
Une résidente de Blainville ne fait plus confiance aux clés intelligentes depuis qu’elle s’est fait voler sa voiture le mois dernier, mais elle estime que le problème est plus profond, ayant constaté que les bandits savent quoi faire pour déjouer les dispositifs de protection antivol comme les systèmes de traçage.