Transport collectif: la solution pour réduire les GES
TVA Nouvelles
Le transport en commun est le meilleur moyen de diminuer les émissions de gaz à effet de serre (GES).
C’est ce qu’a révélé une étude menée par l’Association du transport urbain du Québec (ATUQ) dans les régions de Québec-Lévis et de Gatineau. Ainsi, annuellement, les services de transport collectif permettent d’éviter près de 654 000 tonnes de CO2, soit 192 502 pour Gatineau et 461 476 pour Québec-Lévis.
«Les résultats de l’étude certifient l’importance du transport collectif pour limiter les émissions des GES pour les territoires de Gatineau et de Québec-Lévis, mais tout autant à l’échelle du Québec. On peut aussi conclure que le transport collectif offre à ses clients et à tous les citoyens une option réelle pour réduire leurs propres émissions de GES», a soutenu Marc Denault, président de l’ATUQ.
Il faut rappeler qu’à l’échelle provinciale, le transport routier a rejeté près de 28,7 millions de tonnes de CO2 pour l’année 2018, soit 35,6 % des émissions totales du Québec.
«Pour réduire de 35% ces émissions, cible fixée par la Politique de Mobilité durable (PMD) du gouvernement du Québec, le transport collectif est clairement un outil essentiel à privilégier et soutenir», a ainsi précisé l’ATUQ dans un communiqué.
On sait que, dans nos écoles, les enseignants sont habitués à faire du neuf avec du vieux. Certains courent même les brocantes pour acheter à leurs frais meubles et objets destinés à leur classe. Depuis quelques mois cependant, le gouvernement de la CAQ fait lui aussi du neuf avec du vieux en annonçant comme des nouveautés des éléments qui existent déjà.
L’hélicoptère dans lequel sont montés les trois évadés d’Orsainville a fort probablement été démantelé et enterré à Sainte-Béatrix, dans Lanaudière, et risque ainsi de ne jamais être retrouvé, estime l’enquêteur à la retraite Pierre Samson, qui a procédé à l’arrestation de ces fugitifs, il y a 10 ans.