Les Québécois plus conscients des avantages des pneus d’hiver
TVA Nouvelles
L’écrasante majorité des conducteurs québécois croient en l’utilité des pneus d’hiver qui peuvent sauver des vies dans des situations potentiellement dangereuses, selon un récent sondage.
Le coup de sonde réalisé par la firme Léger pour le compte de l’Association canadienne du pneu et du caoutchouc (ACPC) révèle que 82 % des répondants sont d’avis que les pneus d’hiver les ont sauvés d’une perte de contrôle ou d’une collision dangereuse.
La propension est de 78 % s’agissant des conducteurs du reste du pays.
La pandémie de COVID-19 semble avoir impacté la conduite hivernale des Québécois. Ils sont en effet 32 % à estimer que la pandémie continuera à limiter leur conduite hivernale, contre 39 % pour le reste du Canada.
Le taux d’utilisation des pneus d’hiver hors Québec a été de 69 %, selon l’étude des fabricants de pneus au Canada.
«Les Québécois savent mieux que les conducteurs des autres provinces que les pneus d’hiver préviennent les accidents et sauvent des vies», a indiqué par communiqué Carol Hochu, PDG de l’APCP. Hors Québec, lundi.
«Ce n’est pas un hasard si l’utilisation des pneus d’hiver dans les autres provinces a augmenté continuellement depuis que la loi sur les pneus d’hiver a été adoptée au Québec. La vérité est que l’expérience québécoise a convaincu des millions de conducteurs canadiens d’adopter les pneus d’hiver, rendant les routes hivernales plus sécuritaires partout au Canada», a-t-il ajouté.
Au Québec, la pose des pneus d’hiver est obligatoire à compter du 1er décembre.
Des agriculteurs au bout du rouleau n’en peuvent plus des caprices de la météo, de l’explosion des taux d’intérêt et du prix élevé du transport, qui les empêchent de pouvoir se battre à armes égales contre les légumes moins chers du Mexique en magasin, révèle un sondage explosif obtenu par Le Journal.
Les propriétaires du manufacturier de portes de garage Garaga se portent acquéreurs du Groupe Novatech, sur la Rive-Sud de Montréal, dans le cadre d’une transaction majeure impliquant Investissement Québec et le Fonds FTQ. À terme, la famille Gendreau, de Saint-Georges en Beauce, dirigera un empire de 1 milliard de ventes annuelles.