Les commerçants locaux veulent aussi profiter du Vendredi fou
TVA Nouvelles
C'est devenu une tradition en ce Vendredi fou, certains font la file devant les grands magasins, d'autres surfent sur le web pour trouver les meilleurs soldes. Les commerçants et les artisans locaux tentent aussi d’obtenir leur part de marché.
Pendant que les clients font la file devant les grandes chaînes qui offrent des rabais de 50 %, 60 % même 70 % de rabais, les commerçants locaux tentent de faire leur place.
«C’est clair qu’on ne peut pas offrir de tels rabais», admet Judith Tousignan, gérante dans une des boutiques de l’entreprise familiale Guy le bottier.
Pour se démarquer, il n'y a pas de secret: «On mise sur le service à la clientèle, indique Mme Tousignan. On n’est pas là juste pour donner une boîte, on les accompagne et on s’assure qu’ils repartent avec un produit qui répond exactement à leur besoin.»
Une autre des clés gagnantes, c’est d’avoir une alternative hybride entre la boutique physique et la boutique en ligne, explique la gérante chez Piosa Ariane Gagné.
«Les clientes font du pré-magasinage sur la boutique en ligne et viennent essayer en magasin. Sinon on leur répond sur Instagram, on les aide, les vendeuses ici on essaie même les chaussures pour connaitre les différences de grandeur.»
Les négociations entre le syndicat des deux plus grandes entreprises ferroviaires au Canada et leurs employeurs sont au point mort depuis les six derniers mois. Le 1er mai dernier, le syndicat représentant près de 10 000 employés du Canadien National (CN) et du Canadien Pacifique Kansas City (CPKC) avait obtenu un mandat de grève.
Une résidente de Blainville ne fait plus confiance aux clés intelligentes depuis qu’elle s’est fait voler sa voiture le mois dernier, mais elle estime que le problème est plus profond, ayant constaté que les bandits savent quoi faire pour déjouer les dispositifs de protection antivol comme les systèmes de traçage.