La présidente de la Fondation du CHUM part à la retraite
TVA Nouvelles
La Fondation du CHUM a annoncé mardi que sa Présidente et directrice générale, Mme Julie Chaurette, prendra sa retraite à la fin de l’exercice financier de l’institution, soit le 31 mars 2022.
«Je suis heureuse de la notoriété acquise par la Fondation sous ma direction, mais, sans le travail des équipes formidables de celle-ci, rien n'aurait été possible. Nous avons tant accompli ensemble au cours de ces années. Je quitte avec le sentiment du devoir accompli», a-t-elle déclaré par communiqué.
Plusieurs hauts dignitaires de la Fondation ont tenu à lui rendre hommage. Avant de se joindre à la Fondation en 2017, elle a cumulé plus de 35 ans dans divers postes de direction, dans le domaine des finances, en gestion intégrée des risques et en information financière, notamment en immobilier auprès de la Caisse de dépôt et placement du Québec, le Trust Général et PwC.
«Mme Chaurette est arrivée à la tête de la Fondation à un moment charnière de son existence. Par son expérience du domaine des affaires, son leadership et sa détermination, elle a transformé celle-ci pour en faire une entreprise philanthropique de premier niveau répondant aux plus hauts standards au bénéfice du CHUM et des patients», a partagé Marc Tremblay, président du conseil d'administration de la Fondation.
«C'est tout d'abord une expertise que Julie a développée dans le domaine de la philanthropie, où elle a excellé, grâce à une compréhension des besoins du CHUM, de ses équipes, et surtout des patients et des familles. Ses qualités de cœur, son enthousiasme, son énergie ont permis de développer une Fondation exemplaire du CHUM à l'écoute des intervenants», a ajouté le Dr Fabrice Brunet, Président-directeur général du CHUM.
La Fondation a déjà entamé le processus menant à l'identification du ou de la successeur(e) de Mme Chaurette et procédera à une communication au moment opportun.
À Saint-Damase, en Montérégie, un robot passe des journées entières à trier des pilons de poulet pour les placer dans des barquettes de styromousse, et il n’est pas seul: il y a maintenant une cinquantaine de robots qui découpent les carcasses de porc et de volaille dans les différentes usines d’Olymel.