
Il n’y a aucune limite à ce que peut accomplir Victoria Mboko, selon l’une de ses entraîneuses
Le Journal de Montréal
Du 350e rang mondial, où elle a commencé l’année, jusqu’au quatrième tour de l’Omnium Banque Nationale de Montréal, la progression fulgurante de la jeune Canadienne Victoria Mboko a de quoi faire écarquiller les yeux.
• À lire aussi: Stressant, affronter la favorite de l’Omnium Banque Nationale de Montréal? Pas pour Victoria Mboko!
• À lire aussi: Présence en huitièmes de finale: Mboko fait déjà partie d’un club sélect
• À lire aussi: Tennis féminin: un record canadien, mais un besoin d’argent
Déjà en mars, après avoir gagné un cinquième titre mineur, dont quatre de suite incluant une séquence de 22 victoires, l’une de ses entraîneuses, Noëlle van Lottum, visait le top 100.
Quatre mois plus tard, Mboko a surpassé les attentes. Arrivée 88e de la WTA à Montréal, l’invitée des organisateurs pourrait faire un bond d’au moins 23 places au terme de la compétition.
«Moi, je dis: no limits [aucune limite à ce que peut accomplir Mboko]», a lancé van Lottum, jeudi, quelques heures avant la victoire de sa protégée face à la Tchèque Marie Bouzkova, 39e.
«On a vu dans le passé qu’on peut jouer incroyablement bien et après avoir une période où on stagne et où on ne veut plus jouer au tennis. Le plus important, c’est qu’elle reste en bonne santé, qu’elle continue à aimer le tennis, qu’elle garde cette passion, et c’est à nous à l’accompagner», a mentionné l’entraîneuse nationale en chef du volet féminin chez Tennis Canada.
Avec les autres coachs Nathalie Tauziat, Virginie Tremblay et Nicolas Perrotte, la jeune sensation semble être entre bonnes mains.
