Des sculptures à l'effigie de George Floyd et Breonna Taylor bientôt vendues aux enchères
TVA Nouvelles
Des sculptures à l'effigie de George Floyd et Breonna Taylor, dont les morts provoquées par des violences policières en 2020 ont secoué les États-Unis, vont être vendues aux enchères à des fins caritatives après avoir été exposées à New York, a annoncé la société Sotheby's jeudi.
Les ventes ont lieu en ligne jusqu'au 17 décembre et les bénéfices seront versés aux associations fondées par les familles des deux victimes, «We are Floyd» et «The Breonna Taylor Foundation», a précisé Sotheby's.
Les deux statues sont l'oeuvre de l'artiste Chris Carnabuci, à laquelle s'ajoute pour celle représentant Breonna Taylor le travail du peintre nigérian basé à Brooklyn Laolu Senbanjo (ou Laolu NYC), connu pour avoir travaillé avec Beyoncé.
La statue dorée représentant le visage de l'Afro-américain George Floyd, mort à 46 ans le 25 mai 2020 à Minneapolis, par asphyxie lors de son interpellation par la police, avait été vandalisée par un jet de peinture pendant qu'elle était exposée à Union Square, dans Manhattan. Nettoyée depuis, la sculpture de 1,80 mètre de haut est estimée entre 100 000 et 150 000 dollars.
L'oeuvre à l'effigie de Breonna Taylor, tuée par balle à 26 ans à Louisville (Kentucky) dans la nuit du 12 au 13 mars 2020, est estimée à 20 000 à 30 000 dollars. Elle est décorée de motifs provenant de la culture yoruba, qui inspire Laolu Senbanjo.
La mort de George Floyd et les images du policier appuyant son genou sur son cou, deux mois après le décès de Breonna Taylor, avaient provoqué une onde de choc aux États-Unis et déclenché de vastes protestations ainsi un débat national sur le racisme et les violences policières visant les Afro-Américains.
Une résidente de Blainville ne fait plus confiance aux clés intelligentes depuis qu’elle s’est fait voler sa voiture le mois dernier, mais elle estime que le problème est plus profond, ayant constaté que les bandits savent quoi faire pour déjouer les dispositifs de protection antivol comme les systèmes de traçage.
Des agriculteurs au bout du rouleau n’en peuvent plus des caprices de la météo, de l’explosion des taux d’intérêt et du prix élevé du transport, qui les empêchent de pouvoir se battre à armes égales contre les légumes moins chers du Mexique en magasin, révèle un sondage explosif obtenu par Le Journal.