À 17 ans, son entreprise a le vent dans les voiles
TVA Nouvelles
Un jeune entrepreneur de 17 ans originaire de Sainte-Luce, au Bas-St-Laurent, connaît un succès florissant en affaires, au plus fort de la saison touristique estivale.
Charles-Olivier Soucy tenait à offrir un service encore inexistant en date de l’an passé.
« Il y avait une si forte demande que j’ai dû acheter d’autres matériaux, se réjouit le jeune sportif. Je suis résident de Sainte-Luce et j’ai observé qu’il n’y avait pas de service de location, mais que les gens le demandaient », a raconté le propriétaire de Plein air Sainte-Luce, qui a été motivé par le manque d’activité plein air.
Son entreprise de location d'équipement répond à un véritable besoin.
Paddles boards, trottinettes électriques, kayaks et fat bikes sont offerts tous les jours aux citoyens, de juin à la rentrée scolaire.
De retour en force pour une deuxième année, Charles-Olivier a voulu bonifier son offre en collaborant avec une entreprise rimouskoise. « Je suis vraiment heureux parce qu’ils ont accepté de me prêter des vélos fat bike pour la saison estivale », nous a confirmé le Rimouskois qui observait un engouement pour le vélo.
Pour le jeune homme, ce n’est que le début dans le monde des affaires, lui qui aimerait faire le saut dans ce domaine à l’Université.
« On est vraiment fier. Des jeunes autant impliqués que lui dans le développement touristique, c’est beau. On espère qu’il va continuer encore longtemps », s’est enorgueillie la mairesse de la municipalité de Sainte-Luce, Micheline Barriault.
La fibre entrepreneuriale se fait sentir ailleurs en région, alors que c’est le retour d’un programme qui permet aux jeunes de s’initier rapidement au travail.
Les négociations entre le syndicat des deux plus grandes entreprises ferroviaires au Canada et leurs employeurs sont au point mort depuis les six derniers mois. Le 1er mai dernier, le syndicat représentant près de 10 000 employés du Canadien National (CN) et du Canadien Pacifique Kansas City (CPKC) avait obtenu un mandat de grève.
Une résidente de Blainville ne fait plus confiance aux clés intelligentes depuis qu’elle s’est fait voler sa voiture le mois dernier, mais elle estime que le problème est plus profond, ayant constaté que les bandits savent quoi faire pour déjouer les dispositifs de protection antivol comme les systèmes de traçage.