«C’était beau à voir»: Brendan Gallagher espère que vous avez apprécié la mêlée générale entre les Rangers et les Devils
Le Journal de Montréal
La mêlée qui a marqué le début du match entre les Rangers et les Devils, mercredi soir, n’a laissé personne indifférent. Alors que certains ont regardé la séquence en se pinçant le nez, d’autres ont grandement savouré le moment.
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«C’était fantastique et divertissant. C’est ce qui fait que notre sport est unique, a lancé Brendan Gallagher, après l’entraînement matinal du Canadien. J’espère que les gens ont apprécié.»
«Il y avait les deux grands garçons [Matt Rempe et Kurtis MacDermid] qui s’en donnaient à cœur joie. C’était beau à voir. Et tu as vu les coéquipiers se joindre au mouvement. Ça aussi, c’était beau à voir», a ajouté le fougueux attaquant du Tricolore.
Évidemment, Gallagher n’est pas sans savoir qu’une opinion comme la sienne est loin de faire l’unanimité à une époque où certains dirigeants de circuit junior et autres membres de gouvernement essaient de tout mettre en œuvre pour enrayer les bagarres dans le hockey.
«Je ne pense pas que ça arrivera. Autant plusieurs personnes voudraient voir ça disparaître, autant c’est un aspect du jeu que les joueurs aiment. Pas mal plus que vous pensez, a soutenu Gallagher. D’ailleurs, rendu à notre niveau, tout le monde sait comment se protéger. C’est pas mal plus ça l’objectif que celui de gagner le combat.»
«J’ai grandi dans ce genre d’environnement. Dans la Ligue junior de l’Ouest, c’était la norme, a raconté l’Albertain, avec conviction. J’ai connu ma première mêlée impliquant tous les joueurs sur la glace à l’âge de 16 ans. Les sentiments qui t’envahissent et le respect que tu gagnes de tes coéquipiers, ça compte pour beaucoup.»
Il n’y a pas qu’à l’âge de 16 ans que Gallagher a été un témoin privilégié d’une mêlée impliquant tous les joueurs sur la patinoire. Le 5 mai 2013, lors du troisième match de la série entre les Sénateurs et le Canadien, une foire semblable avait ponctué la troisième période.
AUGUSTA | Un mot: impossible! Il n’est pas dans votre vocabulaire? Eh bien, pour le commun des mortels, il faut prier. Et fort. Car n’entre pas qui veut au Augusta National. C’est sur invitation seulement comme le confirme l’enseigne aux portes métalliques sur Washington Road. La règle vaut tant pour ceux qui souhaitent enfiler un veston vert que pour leurs invités.
AUGUSTA | Uno, si Tiger Woods est débarqué à Augusta pour le Tournoi des Maîtres, c’est qu’il croit encore viscéralement en ses chances. Il le répète depuis des années. S’il n’y croyait pas un tantinet, il n’y participerait pas. Deuzio, s’il y a une place sur terre où il peut encore gagner, c’est bien au Augusta National, un parcours qu’il connaît comme le fond de sa poche.
À défaut de participer aux séries, le Canadien risque inévitablement d’influencer le portrait des éliminatoires dans l’Association de l’Est. Quatre des cinq derniers matchs de la saison du Tricolore, dont celui de mardi soir face aux Flyers de Philadelphie, sont contre des clubs impliqués dans une lutte sans merci.
Il faudrait avoir la mémoire bien courte pour considérer le Québécois Mike Matheson parmi les 10 meilleurs défenseurs offensifs de la riche histoire du Canadien de Montréal. L’athlète originaire de Pointe-Claire ne fait pas moins partie des 10 différents joueurs du CH à avoir connu une campagne de 55 points ou plus en évoluant à la ligne bleue du Tricolore.