Les problèmes d’approvisionnement continueront l’année prochaine
TVA Nouvelles
Le ministre américain des Transports, Pete Buttigieg, a prévenu dimanche que les problèmes d’approvisionnement actuels continueraient « l’année prochaine », et plaidé pour trouver une solution de long terme.
• À lire aussi: Une pénurie de biens qui pourrait durer jusqu’en 2022
La pandémie de COVID-19 a provoqué des perturbations mondiales des chaînes d’approvisionnement, qui ont provoqué des retards aux États-Unis faisant grimper les prix.
Le problème inquiète à l’approche de Noël, certains experts prévoyant des pénuries massives pour les fêtes.
« Beaucoup des problèmes auxquels nous sommes confrontés cette année vont continuer l’année prochaine », a déclaré dimanche matin sur CNN M. Buttigieg.
Selon lui, la situation est notamment liée à une demande en forte hausse, au moment où l’économie rouvre dans le pays.
« Le problème est que même si nos ports traitent davantage (de marchandises) qu’ils ne l’ont jamais fait, des quantités record de biens arrivent, et notre chaîne d’approvisionnement ne peut pas suivre », a-t-il expliqué.
Des dizaines de navires sont amarrés à l’extérieur des grands ports de Los Angeles et de Long Beach, sur la côte ouest, dans l’attente de décharger leurs cargaisons.
« Ces deux ports représentent 40 % de notre trafic de conteneurs », a rappelé le ministre américain, soulignant les mesures prises pour remédier à cet embouteillage. « Ils opèrent désormais 24 h/24. Ce n’est pas quelque chose de simple à faire du jour au lendemain, mais c’était un engagement fort. »
L'offensive militaire israélienne sur Rafah a déjà des conséquences désastreuses sur la santé dans le sud de la bande de Gaza et, si elle se poursuit, pourrait provoquer une augmentation «substantielle» du nombre de morts, a averti mardi un haut responsable de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Armes occidentales utilisées sur le sol russe: Poutine met en garde contre des «conséquences graves»
Le président russe Vladimir Poutine a mis en garde mardi contre l'usage d'armes occidentales visant le territoire russe, évoquant le risque de «conséquences graves», au moment où le débat ressurgit dans les chancelleries alliées de l'Ukraine.