Le tourisme en hausse au Bas-Saint-Laurent
TVA Nouvelles
Le Bas-Saint-Laurent connaît une autre excellente saison touristique, dénombrant un plus grand nombre de touristes qu'en période de prépandémie, en 2019.
Tourisme Bas-Saint-Laurent a d'ailleurs noté des records d'achalandage pour certains sites touristiques, comme le Site historique maritime de la Pointe-au-Père.
Selon des acteurs touristiques de la région, le succès du Bas-Saint-Laurent découlerait de sa capacité à innover. En effet, différents sites de la région renouvellent leur offre chaque saison. Le Site historique maritime Pointe-au-Père, par exemple, offre cette année une visite interactive à bord du sous-marin Onondaga. À l'est, une nouvelle distillerie permet aux clients d'observer le soleil se coucher sur le fleuve.
«Ça fait partie de notre ADN d’innover et de se renouveler, a expliqué la directrice générale du Site historique maritime, Hélène Théberge. Il faut créer de l’intérêt pour notre clientèle.»L’afflux touristique au Bas-Saint-Laurent contraste avec celui d’autres régions de l’Est-du-Québec, qui connaissent un début de saison touristique plus lent.
Selon Tourisme Bas-Saint-Laurent, la proximité de la région des grands centres, comme Québec et Montréal, jumelée à l’inflation et la flambée du prix de l’essence, font en sorte que la région devient beaucoup plus attractive pour les touristes... et surtout plus abordable!
«Les deux dernières années, la Gaspésie et la Côte-Nord ont été ensevelies par les touristes. Il y avait beaucoup d’achalandages. Les gens se disent “J’y ai été, on va aller moins loin, l’essence est trop chère”», a ajouté Karine Lebel, porte-parole chez Tourisme Bas-Saint-Laurent.
Les négociations entre le syndicat des deux plus grandes entreprises ferroviaires au Canada et leurs employeurs sont au point mort depuis les six derniers mois. Le 1er mai dernier, le syndicat représentant près de 10 000 employés du Canadien National (CN) et du Canadien Pacifique Kansas City (CPKC) avait obtenu un mandat de grève.
Une résidente de Blainville ne fait plus confiance aux clés intelligentes depuis qu’elle s’est fait voler sa voiture le mois dernier, mais elle estime que le problème est plus profond, ayant constaté que les bandits savent quoi faire pour déjouer les dispositifs de protection antivol comme les systèmes de traçage.