Des profits et des revenus en hausse pour Loblaw au troisième trimestre
TVA Nouvelles
La société de grande distribution Loblaw a réalisé un bénéfice attribuable aux actionnaires ordinaires de 431 millions $, soit 1,27 $ par action, pour la période de 16 semaines qui s’est clôturé le 9 octobre.
Il s’agit d’une augmentation de 89 millions $, ou 26 %, par rapport au troisième trimestre de 2020.
Les revenus trimestriels se sont établis à 16,05 milliards $, en hausse de 2,4 %, comparativement aux 15,67 milliards $ réalisés un an plus tôt.
«Les mesures de confinement liées à la pandémie ayant été à toutes fins pratiques levées partout au pays, notre portefeuille de supermarchés et de pharmacies nous positionne avantageusement pour répondre à l'évolution des besoins des Canadiens», a déclaré Galen G. Weston, Président et Président du Conseil de Les Compagnies Loblaw Limitée.
Le chiffre d'affaires du secteur «Vente au détail» s'est établi à 15,8 milliards $ au troisième trimestre de 2021, en hausse de 367 millions $, ou 2,4 %, comparativement à celui inscrit au troisième trimestre de 2020. Celui du secteur «Service financier» a atteint 297 millions $, ce qui représente une augmentation de 19 millions $.
Cette hausse découlerait essentiellement de l'augmentation des commissions d'interchange attribuable aux dépenses accrues des clients.
L’exploitant de Pharmaprix, Maxi ou encore Provigo a enregistré une forte demande en magasin et en ligne, notamment grâce à la réouverture des économies ainsi que la tendance persistante des repas pris à domicile.
Les négociations entre le syndicat des deux plus grandes entreprises ferroviaires au Canada et leurs employeurs sont au point mort depuis les six derniers mois. Le 1er mai dernier, le syndicat représentant près de 10 000 employés du Canadien National (CN) et du Canadien Pacifique Kansas City (CPKC) avait obtenu un mandat de grève.
Une résidente de Blainville ne fait plus confiance aux clés intelligentes depuis qu’elle s’est fait voler sa voiture le mois dernier, mais elle estime que le problème est plus profond, ayant constaté que les bandits savent quoi faire pour déjouer les dispositifs de protection antivol comme les systèmes de traçage.