Des légumes moches vendus pour une fraction du prix
TVA Nouvelles
Une épicerie montréalaise s’est donné le mandat de réduire le coût de la facture d’épicerie en proposant des produits rejetés par les commerces.
Ainsi, le marché Second Life donne, comme son nom le dit, une seconde vie aux produits présentant des imperfections et qui ne se retrouveraient autrement pas dans le panier d’épicerie des consommateurs.
Ces aliments sont proposés au rabais aux clients, qui en plus d’économiser, font un bon geste pour l’environnement.
L’épicerie, qui opère entièrement en ligne, a comme objectif de réduire le gaspillage alimentaire.
Le fondateur de l’entreprise, Thibault Martelain, précise que son entreprise fait affaire directement avec les fermiers. Les rabais obtenus chez les agriculteurs sont redonnés directement aux clients. Des produits d’épicerie sont aussi offerts en ligne.
Une fois la commande passée, il est possible d’aller récupérer sa commande dans un point de chute, ou de la recevoir à domicile.
«Tous ces produits, en les mettant dans l’assiette de quelqu’un, ça évite qu’ils pourrissent dans un champ, ça évite qu’on les mette à la benne, et ça fait moins de gaz à effets de serre. On essaie d’avoir une équation gagnante pour tout le monde», explique M. Martelain.
Il affirme d’ailleurs avoir de la difficulté à répondre à la demande, particulièrement celle des nombreux fermiers qui souhaitent que Second Life achète leurs produits.
«Cet été, on a croulé sous les téléphones pour sauver les produits. Les fermiers ont trop de surplus, trop difformes», confirme le fondateur.
Les négociations entre le syndicat des deux plus grandes entreprises ferroviaires au Canada et leurs employeurs sont au point mort depuis les six derniers mois. Le 1er mai dernier, le syndicat représentant près de 10 000 employés du Canadien National (CN) et du Canadien Pacifique Kansas City (CPKC) avait obtenu un mandat de grève.
Une résidente de Blainville ne fait plus confiance aux clés intelligentes depuis qu’elle s’est fait voler sa voiture le mois dernier, mais elle estime que le problème est plus profond, ayant constaté que les bandits savent quoi faire pour déjouer les dispositifs de protection antivol comme les systèmes de traçage.