Élection partielle dans Marie-Victorin: une ancienne députée doute des chances de PSPP
TVA Nouvelles
Alors que le chef du Parti Québécois Paul St-Pierre Plamondon n’a toujours pas annoncé s'il se présenterait lors de l’élection partielle dans Marie-Victorin, l’ancienne députée péquiste de la circonscription, Cécile Vermette, a jugé faibles les chances de ce dernier.
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«Je crois que ce serait difficile pour Paul St-Pierre Plamondon, être lui je réfléchirais beaucoup avant de me prononcer. Le comté a beaucoup changé depuis que j'ai quitté la vie politique, et ce n'est plus le château fort péquiste qu’il a déjà été», a déclaré celle qui a représenté la circonscription durant plus de 20 ans, en entrevue avec Mario Dumont sur Qub radio.
«Je doute qu’il puisse relancer le PQ dans la circonscription. D’un côté durant les élections partielles, les gens sortent moins pour aller voter. De l’autre, il n'y a pas d’organisation dans Marie-Victorin puisque Catherine Fournier l’a drainé pour les élections municipales, il faut monter une nouvelle équipe», a expliqué Mme Vermette.
L'ex-politicienne suggère également que le passage tumultueux des derniers députés du PQ pourrait nuire à l’éventuelle candidature du chef du parti.
«Ça fait deux candidats du Parti Québécois coup sur coup qui quittent en cours de mandat, soit Bernard Drainville et Catherine Fournier. Cela pourrait influencer certains électeurs», a-t-elle rappelé.
Il n’est plus nécessaire de recourir à des ouvriers de sept métiers différents pour changer une porte dans une école, se réjouit le ministre Jean Boulet, qui n’anticipe pas de grogne sur les chantiers après sa réforme de la construction. Mais déjà, les opérateurs de machinerie lourde sont «en colère».