
«C’est maintenant ou jamais»
TVA Nouvelles
On le répète depuis plusieurs années: il n’y a pas mieux placé qu’un joueur ayant grandi au Québec pour saisir dans ses moindres détails ce que porter l’uniforme du Canadien représente.
On le répète depuis plusieurs années: il n’y a pas mieux placé qu’un joueur ayant grandi au Québec pour saisir dans ses moindres détails ce que porter l’uniforme du Canadien représente.
La pression est grande, il y a parfois des jours difficiles. Surtout dans les périodes creuses. Un aspect de cette vie dont peut témoigner Jonathan Drouin.
En revanche, les moments de bonheur et d’extase sont amplifiés à la puissance 10. La présence du Canadien en finale, le printemps dernier, l’a démontré. C’était la fête au centre-ville. Même les restrictions sanitaires visant à maîtriser la propagation de la COVID-19 avaient pris le bord.
Éliminé par le Tricolore au deuxième tour de ce même tournoi, Mathieu Perreault a suivi avec intérêt le reste du parcours de la formation montréalaise.

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











