Classes réfrigérées: c’était écrit dans le ciel, disent les partis d'opposition
TVA Nouvelles
Obligés de porter leurs manteaux dans des classes réfrigérées, les élèves paient le prix de l’inaction du gouvernement Legault dans le dossier de la ventilation des écoles, estiment les partis d’opposition à Québec.
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«C’est pathétique, frustrant, intolérable, car tout ça était prévisible. Le gouvernement était averti depuis un an de ces conséquences et ce sont les enfants qui en vivent les conséquences», a déploré la porte-parole du Parti québécois en matière d’éducation, Véronique Hivon
Pour maintenir une qualité de l’air acceptable à l’école, des enseignants doivent ouvrir les fenêtres si grandes que la température descend jusqu’à 13 degrés Celsius à certains endroits, rapportait vendredi Le Journal de Québec.
Une situation qui «n’est pas digne d’un Québec aussi riche», a déclaré l’élue libérale Marwah Rizqy, sur les ondes de LCN.
«C’est exactement le même scénario que l’an dernier, alors que le 17 août 2020, nous avons posé la question de la ventilation», a-t-elle également rappelée.
Pour la députée solidaire Christine Labrie, ouvrir les fenêtres en hiver pour ventiler n’est tout simplement pas une solution pérenne. «Je ne peux pas accepter ça, que les enseignants n’aient pas le choix entre respirer de l’air vicié ou geler dans leurs classes», a-t-elle martelé en entrevue.
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