[VIDÉO] JF Pauzé lance une nouvelle chanson pour Karl Tremblay et les fans des Cowboys sont unanimes

«Tout est plus triste depuis que tu es parti, mon ami», chante JF Pauzé sur sa nouvelle chanson Ballon-sonde. Si on se demandait de quoi aurait l’air «l’après-Karl Tremblay» pour le guitariste, on vient d’en avoir un très bon aperçu. Et les fans des Cowboys Fringants sont unanimes sur ce nouvel extrait.

«Un peu comme on lance un ballon-sonde. J’t’envoie des nouvelles de l’autre monde. Rien d’neuf ici, tout va pour le mal. Ça frôle la guerre mondiale.»

Pour le premier extrait de son album solo à paraître le 3 octobre, Les amours de seconde main, JF Pauzé n’y est pas allé de façon subtile. Ballon-sonde s’adresse clairement à Karl Tremblay. L’auteur-compositeur y est à la fois touchant et criant de vérité. Comme il l’avait fait dans le passé avec Les Cowboys, il dépeint une société plutôt sombre où rien ne va plus.

«La planète est à dieux et à cran. Et comme les gens s’ront toujours les gens, c’qui s’rapproche le plus de l’infini, ça reste l’humanité et l’étendue de sa connerie.»

Pour accompagner le morceau, JF Pauzé a publié un montage vidéo de lui dans différents lieux des Îles-de-la-Madeleine, un endroit qu’affectionnait particulièrement Karl. 

Sur les réseaux sociaux, les commentaires des internautes sont extrêmement positifs. «La sensibilité de rendre une chanson à la fois aussi triste et festive en même temps, c’est ça, l’esprit de JF Pauzé et des Cowboys.»

«L’essence de ta voix résonne avec celle de Karl, et pourtant... ta plume, elle, est bien la tienne: sensible, lucide, engagée, bouleversante. On reconnaît l’âme des Cowboys Fringants dans chaque mot, mais c’est toi qu’on entend, toi qu’on sent. Tu peux être pleinement toi-même, tout en portant sur tes épaules ce magnifique héritage que vous avez bâti ensemble.»

«On connaissait l’immense talent de ta plume et on découvre avec bonheur la résonance de ta voix. Le mélange des deux est juste... parfait! Merci pour ce cadeau, ça fait du bien.»

«C’est d’une beauté sans nom. Merci, JF, de nous faire “revivre” Karl.»