Véhicules en libre-service: Projet Montréal veut réduire le coût des permis
Métro
Souhaitant faire augmenter le nombre de véhicules en libre-service (VLS) en circulation de 50% sur quatre ans, la mairesse sortante de Montréal, Valérie Plante s’est engagée à diminuer de façon «substantielle» les coûts de permis réservés aux voitures en autopartage d’ici 2023 si son parti est reporté au pouvoir le 7 novembre.
Sous une éventuelle nouvelle administration du parti Projet Montréal, le permis pour un VLS électrique passerait de 300$ à 1$ alors que le permis pour un VLS hybride serait réduit de 835$ à 225$. Pour un VLS à essence, le coût du permis serait diminué de 835$ à 600$.
«Chaque véhicule en libre-service permet de retirer 5 à 11 véhicules de la route, c’est donc une option de mobilité essentielle à la diminution du trafic et des gaz à effet de serre», souligne Mme Plante par voie de communiqué.
Projet Montréal voudrait aussi lancer une campagne de promotion auprès des employeurs pour augmenter le nombre de stationnements dédiés à l’autopartage sur les lieux de travail, offrir des tarifs préférentiels pour les groupes et augmenter le nombre d’abonnés. Mme Plante voudrait également voir davantage d’espaces pour les stations de voitures en autopartage dans les stationnements municipaux et sur rue.