
Pouvoir, vengeance et trahison: voici ce qu’on a appris sur la nouvelle série «Indomptables» en visitant son plateau
Le Journal de Montréal
Politique, trahisons, coups bas et meurtre: la nouvelle série à saveur western de TVA, Indomptables, promet de s’amener dans la grille hivernale avec son lot de suspense.
Tournée aux abords du rang Saint-André, à Saint-Jacques-le-Mineur, sur la Rive-Sud de Montréal, cette nouvelle saga familiale prendra vie dans de magnifiques paysages agricoles automnaux.
Les réalisatrices Brigitte Couture, qui a démarré la série, et Sandra Coppola, qui prend le relais pour les épisodes 8 à 13, ont quant à elles misé sur le réalisme et les histoires d’abord humaines afin de s’éloigner des clichés.
«C’est une saga humaine en premier. Oui, on est sur des terres agricoles, on a des chevaux et on a un bar magnifique, où il y a des prestations et du monde qui danse en ligne, mais à part ça, on reste dans le réalisme», a prévenu Brigitte Couture, en entrevue avec l’Agence QMI.
«On n’a pas à avoir honte de cette série-là», a-t-elle ensuite dit, comparant son projet avec ce qui se fait ailleurs.
Bien qu’ils soient diamétralement opposés, les chefs de clan Philippe Richer (Benoit Gouin) et Michel Martineau (Stéphane Demers), alliés au début de la saison — dans les bons coups comme dans les mauvais —, verront le calme qui régnait jusque-là à la campagne être troublé par l’arrivée d’un personnage qui fera remonter de vieilles histoires et des secrets enfouis depuis longtemps.
«L’arrivée de cette personne vient troubler l’harmonie qu’il y avait entre deux familles qui s’entendaient au départ quand même assez bien, mais qui sont totalement différentes», a prévenu le duo de réalisatrices.
