
Classement du «Journal»: voici les 25 plus grands groupes québécois
Le Journal de Montréal
Ont participé à cet exercice: Cédric Bélanger, Maxime Demers, Raphaël Gendron-Martin, Bruno Lapointe, Sarah-Émilie Nault, Danny Vear, Marie-France Bornais, Sophie Durocher, Guillaume Picard, Frédérique de Simone et Pascale Robitaille.
Voici les positions 25 à 11.
Avec la chanson On jase de toi, une bande de musiciens beaucerons a ébranlé l’industrie musicale, en 1995. Le groupe a accumulé les succès radio, mais On jase de toi demeure son titre signature et reste en forte demande 30 ans plus tard.
Le rap québécois n’existait pas sur les ondes radio québécoises, ou si peu, avant l’arrivée de Dubmatique, en 1997. Porté par le succès de Soul pleureur et La force de comprendre, leur premier album s’est écoulé à plus de 150 000 exemplaires.
L’ovni de cette sélection: pendant que la planète s’enflammait pour la pop et la new wave dans les années 80, ce groupe de jazz fusion obtenait un rare succès populaire pour ce genre musical qui lui a permis de faire le tour du monde.
De 2005 à 2010, Malajube a réalisé un sans-faute: ses albums ont suscité l’enthousiasme des critiques d’ici et de la presse anglo-saxonne tout en jouant à la radio commerciale, des faits rares pour un groupe de rock indépendant francophone.
La musique traditionnelle est populaire comme jamais grâce au succès inattendu de ce regroupement de musiciens acadiens qui, en l’espace de quelques années, est passé de performances dans un petit bar des Îles-de-la-Madeleine à remplir le Centre Vidéotron et faire les plaines d’Abraham.
Un autre groupe qui a profondément marqué les années 1990 grâce à son rock mélodique et indigné, qui a donné naissance aux classiques Le train et Marche seul, et au chant combatif signature de Rudy Caya.
Ce groupe montréalais a été un des piliers québécois du courant new wave des années 1980 et a connu un époustouflant succès sur la scène internationale avec la chanson – et le vidéoclip – The Safety Dance.
