![Bolsonaro minimise la flambée du variant Omicron qui «n’a tué personne» au Brésil](https://m1.quebecormedia.com/emp/emp/a9d2fbe0-6d5f-11ec-a748-b56d4099d8ec_ORIGINAL.jpg?impolicy=crop-resize&x=0&y=84&w=1200&h=495&width=1200)
Bolsonaro minimise la flambée du variant Omicron qui «n’a tué personne» au Brésil
Le Journal de Montréal
Le président brésilien Jair Bolsonaro a minimisé mercredi l’augmentation vertigineuse de cas de Covid-19 avec l’arrivée du variant Omicron qui, selon les experts, pourrait prochainement surcharger à nouveau les hôpitaux.
• À lire aussi: Dix morts dans des inondations dans le sud-est du Brésil
• À lire aussi: [VIDÉO] Brésil: au moins 10 morts après une chute de rochers dans un lac touristique
«Omicron n’a tué personne. La personne qui est morte à Goiás avait déjà des problèmes très sérieux, notamment aux poumons», a déclaré le chef de l’État dans un entretien au site Gazeta Brasil.
Ce patient de l’État de Goiás (centre-ouest) a été le premier mort confirmé au Brésil du variant omicron, selon les autorités municipales d’Aparecida de Goiânia. Selon des experts, le variant serait déjà devenu majoritaire au Brésil.
«Omicron s’est déjà répandu dans le monde entier, et ceux qui savent de quoi ils parlent disent qu’il est fortement contagieux, mais avec une très faible létalité», a-t-il ajouté.
«Certains disent même que ce serait un virus vaccinal. Certaines personnes savantes et sérieuses, non liées à l’industrie pharmaceutique, disent qu’Omicron est bienvenu et qu’il peut être le signe de la fin de la pandémie», a insisté le président d’extrême droite.
Selon le dernier bilan officiel du ministère de la Santé, publié mardi soir, le Brésil a enregistré 70 765 nouveaux cas de Covid-19 en 24 heures, huit fois plus qu’il y a deux semaines (8 430).
La moyenne mobile des sept derniers jours est de 43 660 contaminations quotidiennes, du jamais vu depuis fin juillet.
![](/newspic/picid-6251999-20240601160227.jpg)
PUNTA CANA - Le mystère s’épaissit entourant les nombreux cas troublants de touristes québécois qui se disent intoxiqués à leur insu dans des hôtels de Punta Cana. Quatre mois après la mort tragique du jeune William Gareau, Le Journal s’est rendu dans cette populaire destination soleil pour constater que plusieurs dangers guettent les vacanciers.