«La belle tournée en hiver»: un premier épisode présenté ce soir
Le Journal de Montréal
La belle tournée est de retour le temps de deux épisodes spéciaux consacrés à l’hiver et à ses joies.
Diffusée les 7 et 14 janvier sur les ondes de TVA, l’émission revient dans une formule semblable à celle qui fut présentée l’été dernier, mais avec des paysages complètement différents, aux allures féériques.
«On est notamment allés à Sept-Îles, sur le bord du Saint-Laurent. C’était comme être sur le bord de la mer, mais avec de la neige et de la glace qui se dépose et qui vient rouler sur la plage. C’était vraiment incroyable», a souligné l’animateur de La belle tournée en hiver, Guy Jodoin.
«Les drones ont aussi vraiment changé la façon de voir le paysage. On était à Carleton-sur-Mer avec les Sœurs Boulay, qui connaissent et adorent cette région-là, et quand elles ont vu les images filmées par les drones, elles ont été ébahies et c’est comme si elles redécouvraient cette péninsule-là. [...] C’est vraiment hallucinant de pouvoir découvrir et de redécouvrir avec des images qui sont complètement différentes. [...] C’est ce qui vient magnifier cette émission-là», a-t-il souligné à l’Agence QMI.
Les deux épisodes hivernaux de La belle tournée en hiver ne seront pas chacun consacré à une région, comme lors de la saison estivale. «On prend vraiment les gens dans leur élément, soit chez eux ou dans un endroit qui leur tient à cœur. Et c’est ce qui est magique pour moi: de réussir à avoir des univers complètement différents. C’est un peu comme des morceaux de casse-tête qu’on filme pendant quatre jours et qu’on va assembler dans les deux émissions du 7 et du 14 [janvier]».
L’occasion de tendre la main
En tournant La belle tournée, Guy Jodoin a confié qu'il a appris «énormément» et «à vitesse grand V» un grand pan de l’histoire du Québec qui autrefois n’était pas enseigné ni montré. Pour lui, visiter les communautés autochtones et mettre en lumière les artistes issus de ces communautés, mais surtout de bien le faire, était primordial.
«Quand j’étais jeune, on ne parlait pas des communautés autochtones. Je n’ai jamais vraiment appris ça à l’école, mais là avec l’émission j’apprends beaucoup», a indiqué l’animateur.
La belle tournée, ce n’est pas que les paysages, c’est l’humain aussi, a-t-il fait valoir.