
Véhicules à Montréal: Plante «fait partie du problème»
Métro
Projet Montréal «parle des deux côtés de la bouche» en augmentant sa flotte municipale de véhicules alors que le parti prône une mobilité durable, accuse l’opposition. Depuis 2017, le nombre de véhicules utilisés par la ville a augmenté de 12%.
Montréal dispose de 997 véhicules de plus qu’en 2017, dévoile le Montreal Gazette grâce à des chiffres obtenus en vertu de la loi sur l’accès à l’information. Les véhicules électriques ou hybrides ne constituent que 5,9% du total de la flotte municipale. La mairesse de Montréal s’est engagée à ce que la flotte municipale soit décarbonée d’ici 2030.
L’augmentation des flottes municipales est une tendance à travers toute la région métropolitaine, s’est justifiée l’administration Plante au Montreal Gazette.
La moitié des voitures et fourgonnettes municipales sont utilisées par le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), le quart par les différents arrondissements et le dernier quart par les vingt services de la municipalité.
Les chiffres démontrent des inégalités de répartition entre les différents arrondissements. Les trois arrondissements comptant le plus de véhicules sont situés au centre, desservis par le métro et densément peuplés. Il s’agit de Ville-Marie, Le Plateau-Mont-Royal et Rosemont–La Petite-Patrie. Ces trois arrondissements sont dirigés par Projet Montréal.
Ces trois arrondissements ne sont pas les plus vastes de l’île. Au contraire, l’arrondissement de Saint-Laurent est très vaste, mais n’est que le 6e arrondissement pour le nombre de voitures.
Montréal n’a d’ailleurs pas de politique d’usage des véhicules standardisée pour aplanir ces différences entre les arrondissements.

À la collecte spéciale de l’Association pour le recyclage des produits électroniques (ARPE), dans le stationnement des Galeries d’Anjou, Guillaume Lacharité est arrivé les mains vides, mais la tête pleine de questions. Il voulait savoir quelle route son appareil vétuste prendrait, s’il faisait le choix de s’en débarrasser.

Comme son nom le laissait présager, Émilie Béland-Bonenfant exercera son métier auprès d’enfants. Destinée à côtoyer quotidiennement les équipes-école de Montréal, la doctorante en psychologie en milieu scolaire a choisi de faire de la suppléance comme façon de s’immerger dans son futur environnement de travail.

Si l’avenue du Mont-Royal est déjà fermée à la circulation automobile depuis dimanche entre le boulevard Saint-Laurent et la rue Fullum, elle est officiellement réservée aux piétons dès aujourd’hui, et ce, jusqu’au 5 septembre. Il s’agit du plus long tronçon piétonnisé de Montréal avec ses 2,5 kilomètres.

À l’aube de la trentaine, las de son métier dans le secteur des semi-conducteurs, Pierre-Alexis Nault décide d’appuyer sur la touche pause, le temps de se chercher un autre défi. Un article de presse lui inspire sans tarder une nouvelle vocation : enseignant. Retour sur une reconversion professionnelle pour le moins surprenante.

Lorsque les jours printaniers reviennent à Montréal, rien n’équivaut à une visite dans l’un des marchés publics de la ville pour se délecter des produits locaux. Ces lieux fourmillent de vie et de saveurs, véritables vitrines de la richesse culinaire québécoise. Métro fait le point sur les horaires d’ouverture de ces derniers en 2023.