Une réussite pour la 3e année du Béluga Ultra Trail à Tadoussac
Radio-Canada
Près de 1 000 athlètes ont participé à la troisième édition du Béluga Ultra Trail samedi à Tadoussac. Avec 300 coureurs de plus que l’an dernier, l'organisation affirme avoir « un sentiment du devoir accompli ».
Ça s’est super bien passé, la température était géniale, les gens étaient au rendez-vous et ils étaient contents d’être avec nous. Toutes les conditions étaient parfaites pour la tenue de la course, souligne la directrice des communications pour les Trails du Saguenay-Lac-St-Jean, Maxime Drolet.
Le coup d’envoi des participants du 45 km a été lancé vers 6 h samedi et les autres départs ont suivi tout au long de la matinée pour les distances de 30 km, 17 km, 5 km ainsi qu’un kilomètre pour les enfants. L’un de nos objectifs, c’est que tout le monde puisse participer à la course. On veut les encourager à faire de la course en sentier, explique-t-elle.
En effet, les coureurs ont emprunté en totalité ou en partie, le sentier du Fjord du Saguenay qui longe le Parc marin du Saguenay-Saint-Laurent dans la région touristique de la Haute-Côte-Nord.
L’autre objectif de l’organisation est de soutenir la recherche sur les bélugas en remettant 5 $ par inscription au Groupe de recherche et d’éducation sur les mammifères marins (GREMM).
D’ailleurs l’équipe du Béluga Ultra Trail a réalisé une promesse importante lors de cette édition de l’événement. L’an dernier on a adopté un premier béluga qui s’appelle Ultra. Cette année on peut dire qu’Ultra aura un frère, puisqu’on a adopté un deuxième béluga que nous avons nommé Trail, explique Maxime Drolet.
Pas de temps à perdre pour l’organisation, les inscriptions pour la course de la l’an prochain débutent ce dimanche à compter de midi. Le tout sera lancé sur le nouveau site transactionnel 100 % régional, qui facilitera notamment le transfert et l’échange de dossards entre participants, sans nécessiter de manipulation supplémentaire de la part de l’organisation.
On conseille aux gens de s’inscrire rapidement parce que les places, dans toutes les distances, s’envolent vraiment rapidement, soutient Mme Drolet.