
St-Louis s'attaque à la nonchalance
TVA Nouvelles
RALEIGH - «Dans chaque défaite, il y a des leçons.» Martin St-Louis a eu le temps de revisionner le match face aux Panthers avant de diriger un entraînement rigoureux sur la glace du PNC Arena.
Pas rigoureux dans le sens de punitif, mais plutôt en matière d’engagement physique et de lutte pour l’obtention de la rondelle. Car, vendredi soir, le Canadien affrontera les Hurricanes de la Caroline, une autre puissance du circuit, dont le succès repose sur une pression soutenue de la part de ses rapides attaquants.
«Défensivement, on a été très lousse et nonchalant. La Floride, c’est une équipe qui travaille fort à l’intérieur de la ligne bleue pour empêcher la rondelle de sortir, a analysé l’entraîneur-chef. C’est difficile de se défendre contre ça, alors tu ne peux pas être nonchalant. Tous les petits jeux ont de la valeur. Si tu n’as pas cette attitude, tu vas te rendre vulnérable.»
Et ce n’est pas parce qu’une formation occupe l’avant-dernier rang au classement général qu’il n’y a pas urgence d’agir.
«Il n’y a pas un gars dans ce vestiaire qui s’en balance parce qu’on est 32e. On essaie de bâtir une équipe, un concept, une culture. Depuis que je suis ici, je suis très content de la direction que l’on suit.»

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











