RDP-PAT: «Tout est en place pour que notre territoire se démarque», assure Caroline Bourgeois
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Le 19 avril, la mairesse d’arrondissement de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles, Caroline Bourgeois, a partagé devant les gens d’affaires de la Pointe de l’île les projets en préparation dans l’arrondissement. Des projets qui contribueront selon elle à «changer le visage de l’est de Montréal».
«Il y a trois ans, je vous avais parlé de l’importance de changer le visage de l’est de Montréal. […] On voit que plusieurs projets poussent dans notre arrondissement. […] Force est de constater que tout est en place pour que notre territoire se démarque», a affirmé Caroline Bourgeois, lors du déjeuner-conférence annuel de la Chambre de Commerce de la Pointe-de-l’Île (CCPDI).
L’événement, mis sur pause en 2020 et 2021, a permis à Mme Bourgeois de rappeler que les travaux de réaménagement de la rue Notre-Dame, entre la 1re et la 13e avenue, devraient s’entamer à l’automne 2023, indépendamment du grand projet de revitalisation de la rue Notre-Dame, «maintes fois repoussé». Les travaux devraient d’ailleurs coïncider avec l’inauguration du projet de revitalisation du Vieux-PAT piloté par la Société de développement Angus, prévue en principe d’ici 2024.
Le site la chapelle de la Réparation serait pour sa part éventuellement transformé en place publique et devenir potentiellement «un legs du 350e anniversaire de PAT en 2024».
Du côté de RDP, des efforts seront consentis pour développer le projet de complexe culturel communautaire Espace Rivière. L’arrondissement travaillerait également à créer «un projet rassembleur» pour les jeunes du quartier, un peu à l’image de la Maison des jeunes Desjardins de PAT.
Par ailleurs, des gestes devraient commencer à être posés pour rendre le boulevard Maurice-Duplessis plus «attrayant et vivant», à la suite du sondage déployé l’automne dernier. Des «pourparlers pour amener un marché public à RDP» seraient aussi en cours.
Réitérant encore une fois le besoin de prolonger le REM de l’Est jusqu’à RDP, Caroline Bourgeois a affirmé que le projet a «clairement le potentiel de transformer la mobilité à même les quartiers».
