Combien coûte... le Toyota Highlander 2021
Le Journal de Montréal
Reconnu pour être un monument de fiabilité, le Toyota Highlander continue de d'amasser des parts importantes du segment des VUS intermédiaires.
L’utilitaire est offert en trois déclinaisons, soit les LE, XLE et Limited (ajoutez XSE pour les variantes à essence). Certaines moutures proposent des dispositions à six ou sept passagers. La version à l’essai, le Toyota Highlander Limited (avec l’ensemble Platinum), arrive avec une motorisation hybride.
Sous le capot se trouve un quatre cylindres de 2,5 litres produisant 186 chevaux. Il se mute à un moteur électrique de 180 chevaux. Un deuxième moteur électrique de 54 chevaux se situe sur l’essieu arrière. Le système développe une cavalerie combinée de 243 chevaux.
Naturellement, l’attrait de cette motorisation réside dans sa frugalité impressionnante. Toyota annonce une cote mixte de 6,7 L/100 km. Le chroniqueur Antoine Joubert ajoute qu’il a plutôt obtenu 7,1 L/100 km lors de son essai.
De plus, un V6 3,5 litres de 295 chevaux et 263 lb-pi de couple figure également au catalogue. Ce dernier peut tracter des charges allant jusqu’à 2 268 kg (5 000 lb). La mouture hybride peut remorquer jusqu’à 1 588 kg (3 500 lb). La consommation se situe à 10,3 L/100 km, peu importe le rouage choisi (traction ou intégral).
En conduite, bien que le chroniqueur apprécie le confort de roulement, il questionne la performance des freins ainsi que le manque de rigidité des suspensions. À bord, Antoine mentionne que le Highlander n’est pas le véhicule le plus spacieux de sa catégorie. Il note néanmoins le confort des sièges et l’ergonomie de l’habitacle. « La présentation [est] très riche. Elle est de bon goût », se réjouit-il.
Par ailleurs, le Highlander se compare à plus d’une dizaine d’autres joueurs dans le segment. Les voici : Chevrolet Traverse, Dodge Durango, Ford Explorer, GMC Acadia, Honda Pilot, Hyundai Palisade, Jeep Grand Cherokee L, Kia Telluride, Mazda CX-9, Nissan Pathfinder, Subaru Ascent et Volkswagen Atlas.