
5 raisons d’être optimiste pour le CH en 2026 (et 5 raisons de ne pas l’être)
Le Journal de Montréal
Cinq raisons d’être optimiste pour le Canadien en 2026 et cinq raisons de ne pas l’être: lorsque nous nous étions prêtés au même exercice l’an passé, l’ambiance n’était pas du tout la même. Ce que les partisans ignoraient, c’est qu’ils étaient sur le point de voir la lumière au bout du tunnel pour la première fois depuis le début de la reconstruction amorcée par Kent Hughes et Jeff Gorton.
N’empêche, la fin de l’année 2025 nous a offert un rappel: il y aura encore des hauts et des bas, même après avoir franchi une étape importante avec une participation aux séries.
Le 1er janvier 2025, la première portion de cet exercice était beaucoup plus difficile. Le CH était à quatre points des séries et l’idée d’un haut choix au repêchage était bien plus concrète que celle du hockey printanier.
Il y a des hauts et des bas, mais le Canadien progresse dans sa reconstruction et se retrouve déjà au plus fort de la course, ce qui est une victoire par rapport à l’an dernier.
L’un des plus beaux espoirs du CH, que d’aucuns pressentent au poste de deuxième centre, devrait faire le saut chez les professionnels à la fin de son parcours avec l’Université du Michigan.
On ne sait pas exactement quand Hage débarquera à Montréal. L’organisation pourrait le faire terminer la présente saison à Laval. Mais on peut affirmer sans se tromper qu’il jouera des matchs dans la LNH en 2026.
Le CH s’accroche malgré l’absence de plusieurs joueurs réguliers dans sa formation, notamment Kaiden Guhle, Kirby Dach et Patrik Laine.
Le retour de Guhle, particulièrement, fera le plus grand bien au Canadien et aura pour effet de replacer chaque défenseur dans la bonne chaise.
D’habitude, c’est seulement en deuxième moitié de saison que Slafkovsky ouvre la machine. Cette fois, le train a quitté la gare beaucoup plus tôt.
