Primary Country (Mandatory)

Other Country (Optional)

Set News Language for United States

Primary Language (Mandatory)
Other Language[s] (Optional)
No other language available

Set News Language for World

Primary Language (Mandatory)
Other Language(s) (Optional)

Set News Source for United States

Primary Source (Mandatory)
Other Source[s] (Optional)

Set News Source for World

Primary Source (Mandatory)
Other Source(s) (Optional)
  • Countries
    • India
    • United States
    • Qatar
    • Germany
    • China
    • Canada
    • World
  • Categories
    • National
    • International
    • Business
    • Entertainment
    • Sports
    • Special
    • All Categories
  • Available Languages for United States
    • English
  • All Languages
    • English
    • Hindi
    • Arabic
    • German
    • Chinese
    • French
  • Sources
    • India
      • AajTak
      • NDTV India
      • The Hindu
      • India Today
      • Zee News
      • NDTV
      • BBC
      • The Wire
      • News18
      • News 24
      • The Quint
      • ABP News
      • Zee News
      • News 24
    • United States
      • CNN
      • Fox News
      • Al Jazeera
      • CBSN
      • NY Post
      • Voice of America
      • The New York Times
      • HuffPost
      • ABC News
      • Newsy
    • Qatar
      • Al Jazeera
      • Al Arab
      • The Peninsula
      • Gulf Times
      • Al Sharq
      • Qatar Tribune
      • Al Raya
      • Lusail
    • Germany
      • DW
      • ZDF
      • ProSieben
      • RTL
      • n-tv
      • Die Welt
      • Süddeutsche Zeitung
      • Frankfurter Rundschau
    • China
      • China Daily
      • BBC
      • The New York Times
      • Voice of America
      • Beijing Daily
      • The Epoch Times
      • Ta Kung Pao
      • Xinmin Evening News
    • Canada
      • CBC
      • Radio-Canada
      • CTV
      • TVA Nouvelles
      • Le Journal de Montréal
      • Global News
      • BNN Bloomberg
      • Métro
Ukraine et Russie : grand jeu diplomatique sur fond de tension extrême

Ukraine et Russie : grand jeu diplomatique sur fond de tension extrême

Radio-Canada
Friday, January 21, 2022 01:37:15 PM UTC

Ce vendredi 21 janvier à Genève, les chefs des diplomaties russe et américaine, Sergueï Lavrov et Antony Blinken, se rencontrent pour trouver l’insaisissable solution à la crise causée par les demandes de la Russie à l’Ukraine et à l’OTAN. Des demandes assorties de menaces directes, sous la forme de plus de 100 000 militaires massés aux portes de cette ex-république soviétique.

Moscou exige des Occidentaux la promesse écrite que l’OTAN renonce à toute expansion future. Plus encore, elle veut un retrait des forces armées occidentales des positions conquises sans combattre il y a un quart de siècle, dans la foulée de l’effondrement de l’Union soviétique.

Durant les années 1990 et 2000, la faiblesse de la Russie sous le président Boris Eltsine avait permis à de nombreux pays de l’ex-Bloc de l’Est – dont la Pologne, la Hongrie et la Roumanie – et à trois ex-républiques soviétiques – les pays baltes – de se joindre à l’Union européenne et à l’OTAN.

Pour défaire la catastrophe stratégique vécue par la Russie dans les années 1990, Vladimir Poutine rêve en quelque sorte d’un retour au statu quo ante d’il y a 25 ans. Et d’une réintégration de l’Ukraine à la Russie dont, selon ses propres mots, elle n’aurait jamais dû se séparer.

L’inquiétude monte en Europe devant ces tensions russo-ukrainiennes et devant les nouvelles annonces de manœuvres militaires. Sans oublier les avertissements répétés des États-Unis contre Moscou et les appels de Washington pour l’unité occidentale.

C’est justement sur cette unité vacillante des Occidentaux face à Moscou que le président Joe Biden a émis des doutes dans sa longue conférence de presse du 19 janvier. Réfléchissant à voix haute et sans filtre, il a dit à cette occasion qu’une incursion russe en Ukraine lui semblait probable, voire certaine.

Il va y aller, il n’a pas le choix, a laissé tomber le président des États-Unis en parlant de son homologue russe et de l’Ukraine.

Le président américain a été très explicite, déclarant qu’il y a des différences au sein de l'OTAN sur ce que les pays sont prêts à faire, et jusqu’à quel point ils peuvent aller.

Il a dit que si Moscou décidait de simplement grappiller un peu de territoire à l’est et au sud de l’Ukraine au lieu de procéder à une invasion massive en bonne et due forme, alors bien des pays européens pourraient rechigner à sanctionner la Russie.

Read full story on Radio-Canada
Share this story on:-
More Related News
© 2008 - 2025 Webjosh  |  News Archive  |  Privacy Policy  |  Contact Us