Schizophrénie : le jardinage à la rescousse
TVA Nouvelles
Les problèmes de santé se sont accrus depuis le début de la pandémie de COVID-19.
Afin de briser l’isolement, des personnes souffrant de troubles psychotiques se rassemblent dans un jardin communautaire situé derrière l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal, qui a lancé ce projet en 2019.
Une fois par semaine, Brigitte Lemire, une patiente atteinte de schizophrénie, rejoint des amis vivant une situation similaire.
Pendant plus d'une heure, les mains dans la terre, accompagnée par une ergothérapeute et une formatrice en agriculture urbaine, elle a l'impression de s'évader.
«Briser l’isolement, avoir du plaisir, en fait nous, c’est ça qu’on veut, qu’ils ressortent mieux que quand ils sont arrivés», explique Audrey Marineau, ergothérapeute à l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal.
Pour voir le reportage complet, visionnez la vidéo ci-haut.
Le Vérificateur général du Québec (VGQ) rendait publics, le 23 mai dernier, les résultats de son évaluation de l’évolution de la qualité des services de garde éducatifs à l’enfance (SGÉE) au cours des dernières années. Tristement, les constats qui s’y trouvent sont alarmants et se regroupent tous autour d’un même enjeu: la dégradation de la qualité et le manque de suivis ministériels permettant son amélioration.