
Quel nom sur le Centre des générations? UNI veut voir l’édifice avant d’en parler
Radio-Canada
UNI Coopération financière n'exclut pas de voir un jour son nom affiché en grosses lettres sur le futur Centre régional des générations à Caraquet, mais préfère attendre de voir sa construction complétée.
L'institution financière, l'un des plus importants employeurs de la région, veut donc voir les murs du centre des générations érigées avant d'aller plus loin en termes de contribution financière.
UNI n'a pas révélé le montant de sa contribution au projet.
Le maire de Caraquet, Bernard Thériault, a indiqué dans le passé que l'entreprise était prête à mettre plus de 250 000 dollars, mais voudrait voir son nom sur l'édifice.
Caraquet a fixé à un demi-million de dollars la contribution minimale pour voir son nom sur le Centre régional des générations.
L'automne dernier dans une soirée commémorant les 60 ans de la municipalité au Carrefour de la mer, Bernard Thériault, avait lancé un appel à un potentiel commanditaire majeur.
« Si quelqu'un a un 500 mille piastres de trop dans sa poche, on met son nom sur la bâtisse. »
Le chef de la direction d'UNI coopération financière, Robert Moreau, ne cache pas son appui au projet. Toutefois, il préfère se montrer patient et prudent.
Je vous dirais, premièrement, qu'il faut que la bâtisse soit construite, souligne-t-il. Après, on aura de bonnes discussions sur le nom. On souhaite du succès au projet. Nous on est là pour donner un coup de pouce à la réussite.
