
Nez qui coule, mal de tête: ça pourrait bien être Omicron...
TVA Nouvelles
Un nez qui coule, un mal de tête, pas de quoi fouetter un chat. Pourtant ces habitants de Johannesburg se sont tous révélés positifs à la COVID-19 et font vraisemblablement partie des nouveaux malades du variant Omicron.
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Dans la plupart des cas, le virus a voyagé par le corps de leurs enfants, avant de s'attaquer au système immunitaire de parents souvent vaccinés. En Afrique du Sud, près des trois quarts des nouvelles contaminations sont désormais dues à la forme mutante du coronavirus.
«J'ai cru qu'elles avaient un rhume», dit Julia, 41 ans, en décrivant les symptômes apparus chez ses deux filles âgées de 8 et 6 ans.
Elles sont tombées malades juste après l'annonce de la découverte d'Omicron par une équipe de chercheurs sud-africains, qui a déclenché une panique mondiale.
Rapidement, Julia commence elle aussi à ressentir un petit mal de gorge, un léger vertige. «Les filles, ensuite moi: j'ai su que je l'avais», raconte la consultante en publicité. Et ce, malgré les deux doses de vaccin reçues en août.
Les résultats du test en main, elle n'en revient toujours pas: «les symptômes sont si incroyablement faibles», dit-elle. »Je sens les odeurs normalement, je n'ai pas perdu le goût», deux symptômes jusqu'ici caractéristiques de la maladie.
