Les Red Sox se qualifient pour la série de championnat de l’Américaine
TVA Nouvelles
Les Red Sox de Boston ont évité d’aller en prolongation pour un deuxième match de suite en gagnant 6 à 5 contre les Rays de Tampa Bay, se qualifiant du même coup pour la série de championnat de la Ligue américaine, lundi, au Fenway Park.
En fin de neuvième, Enrique «Kiké» Hernandez a enflammé la foule en claquant un long coup-sacrifice pour donner le temps au coureur suppléant Dany Santana, venu en relève à Christian Vazquez, d’atteindre le marbre et mettre un terme à la série que les Sox ont remportée 3 à 1.
«C’était réconfortant d’avoir Dany [Santana] comme coureur, a dit Hernandez au micro de MLB Network, alors que les célébrations étaient entamées. Merci aux partisans de crier mon nom ainsi, ça m’a vraiment donné un gain de confiance. L’atmosphère est incroyable depuis qu’on a un stade rempli au maximum de sa capacité.»
La troupe d’Alex Cora a commencé la partie avec une grande confiance. Dès le troisième tour au bâton, Rafael Devers a mis la table en envoyant une balle chez les spectateurs alors que Kyle Schwarber et Vazquez étaient sur les sentiers. Alex Verdugo et J.D. Martinez ont ensuite uni leurs efforts pour procurer une avance de 5 à 0 aux favoris de la foule.
Les Rays ont toutefois travaillé d’arrache-pied pour ramener les deux formations à égalité à temps pour donner à l’affrontement une fin digne de mention. Austin Meadows, Wander Franco, Kevin Kiermaier et Randy Arozarena ont tous produit des points entre la cinquième et la huitième manche pour redonner de l’espoir aux leurs.
Même s’il est le premier joueur à marquer 50 buts à 17 ans dans la LHJMQ depuis Sidney Crosby, Justin Poirier n’a pas été invité à la séance d’évaluation des espoirs, plus communément appelée «Combine», qui se tient traditionnellement chaque année à Buffalo avant le repêchage de la Ligue nationale de hockey.
La semaine dernière, je vous ai dit que j’avais reçu une centaine de témoignages à la suite de ma chronique «Notre hockey mineur presque incurable», que vous pouvez lire ici. Des histoires d’athlètes, de parents, d’entraîneurs qui, par dizaines, se reconnaissaient dans celle de mon garçon et dans le triste constat que j’ai posé sur notre système.