Les pales éoliennes débarquent à Port-Cartier
TVA Nouvelles
Le projet éolien Apuiat, le premier à voir le jour sur la Côte-Nord, franchit une étape symbolique. La centaine de pales d’éolienne ont commencé à être livrées à Port-Cartier.
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Parti de Chine, le BBC Onyx est arrivé il y a quelques jours au quai municipal avec une trentaine de pales d’éoliennes, mesurant 79 mètres chacune, à son bord.
La première étape du déchargement consiste à poser ces imposantes pièces de 36 tonnes sur une remorque spécialement conçue à cette fin.
La précision des manœuvres aux deux extrémités de la structure est cruciale.
«Chaque fois, on est toujours impressionné. Ce n’est jamais pareil d’un projet à l’autre, d’un fabricant à l’autre. Les composantes changent. Chaque fois, c’est un nouveau défi pour nous», a indiqué Steve Queneville, vice-président Opérations de la compagnie d’arrimage QSL chargée des opérations. Après le déchargement du navire, les pales sont transportées par camion sur un kilomètre jusqu’à un site d’entreposage temporaire. Pour ce projet, l’utilisation de deux grues est requise.
«De le faire à une grue, ce serait beaucoup trop complexe. Ça prendrait des palonniers très longs et on devient plus exposé aux éléments comme le vent», a expliqué Steve Queneville.
«Les pales d’éoliennes sont probablement la composante la plus technique à cause de la fragilité de la pièce. La longueur et le poids de chaque éolienne joue également un rôle. «On est dans un espace d’entreposage limité, [...] on doit sécuriser.»
L'homme d'affaires Peter Sergakis déplore la détérioration de la situation de l’itinérance à Montréal et interpelle le premier ministre, la mairesse de Montréal, le chef du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et le responsable de l'urbanisme de la Ville dans une lettre à laquelle l’Agence QMI a eu accès.
J’ai 22 ans et, comme tous les jeunes de ma génération, j’ai grandi avec les médias sociaux. Pendant notre enfance, nos sociétés se sont lancées dans une grande expérience dont nous avons été les cobayes, alors que l’on ignorait les conséquences de ces plateformes sur notre développement et notre santé mentale. Maintenant que s’amorce un réveil collectif sur cette question, notre génération doit avoir son mot à dire.