
Les limites du CH mises à rude épreuve dans une défaite gênante Les limites du CH mises à rude épreuve dans une défaite gênante
TVA Nouvelles
Récemment, les collègues Kevin Dubé et Jean-Nicolas Blanchet écrivaient, statistiques à l’appui, que le Canadien jouait possiblement au-dessus de sa tête depuis le début de la saison. Ils ont beau venir de Québec, une ville qui n’a pas de club de la LNH depuis 1995, ils ont quand même l’oeil. Des fois.
Aussi habiles, agiles et rapides puissent-ils être, les joueurs du Canadien commencent à sentir la réalité les rattraper. Surtout contre les lourdes formations de l’Association de l’Ouest.
Après les Kings, mardi, ce fut au tour des Stars d’étouffer la moindre parcelle de vie dans les attaques tricolores. La formation texane a quitté le Centre Bell victorieuse au compte de 7 à 0.
C’est une autre défaite gênante après celle de 5 à 1 encaissée mardi. Ce différentiel de 11 buts en deux matchs est le pire de la longue histoire de l’équipe. D’ailleurs, les Montréalais ont accordé 12 buts consécutifs, considérant que Josh Anderson avait ouvert la marque face aux Kings.
Soudainement, le Tricolore, qui voguait allègrement en tête de peloton, vient de s’incliner dans quatre de ses cinq derniers matchs (1-2-2).

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











