
Le Canadien et les mises en jeu: un important problème à régler
TVA Nouvelles
Face aux Islanders, le Canadien aurait mérité un meilleur sort. Ce fut l’un de ses meilleurs matchs de la jeune saison.
Plus combatif, il a offert un jeu beaucoup plus serré défensivement. Moins de dentelle, moins de revirements. Après deux périodes, il n’avait offert que sept occasions de marquer aux hommes de Patrick Roy. Et ça, ça inclut les quatre minutes que le Tricolore a passées, embouteillé dans sa zone, dans la première moitié du second engagement.
Sept occasions de marquer en 40 minutes de jeu, c’est un monde de différence comparativement à ce qui s’est produit lors des visites des Penguins et des Kings.
Toutefois, un fait demeure: les troupiers de Martin St-Louis sont incapables de rivaliser dans le cercle des mises en jeu. Avant le pot, envoyons les fleurs. Dans les instants précédant le premier but de Cole Caufield, Juraj Slafkovsky s’est illustré en aidant Nick Suzuki à gagner son face-à-face contre Kyle MacLean.
La réaction d’un gars allumé qui répondait parfaitement à l'analyse qu'avait fait Suzuki, jeudi soir, après le match contre les Kings.

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











