
L'attaque massive du Canadien est en panne: c'est le temps de jouer la game qui est en avant L'attaque massive du Canadien est en panne: c'est le temps de jouer la game qui est en avant
TVA Nouvelles
Jared Davidson disputait son premier match dans la LNH pendant que, du côté des Bruins, Jonathan Aspirot foulait la glace du Centre Bell pour la première fois. Si les deux recrues se demandaient à quoi pouvait bien réellement ressembler la rivalité entre les deux plus grands rivaux de la LNH, ils ont été bien servis.
Deux combats dans les quatre premières minutes, des coups d’épaules solides, du chamaillage après les coups de sifflet et une pléthore de punitions. On n’osera pas dire qu’on avait l’impression de se trouver au Forum ou au vieux Garden de Boston, mais l’animosité était surprenante pour un match du mois de novembre.
D’ailleurs, si le Canadien avait été le moindrement opportuniste, il aurait offert à ses partisans une belle victoire du samedi soir après les revers subi cette semaine contre les Kings et les Stars.
Incapables de profiter de sept supériorités numériques, ils ont plutôt joué avec le gros nerf de leurs partisans, testant la limite de leur patience. Au grand plaisir de ceux des Bruins, toutefois, toujours nombreux au Centre Bell. Résultat: une défaite de 3 à 2.
Pendant la grande majorité des 10 min 44 s (dont 3:16 à cinq contre trois) qu’ont duré ses supériorités numériques, l’attaque massive montréalaise a multiplié les passes. Et multiplié les passes. Et multipliés les passes.

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.












