Hausse du taux directeur: le parc immobilier commence à ralentir
TVA Nouvelles
Les hausses du taux directeur commencent à stabiliser le parc immobilier, au moment où les acheteurs sont de plus en plus prudents avant d’acheter une maison.
• À lire aussi: La Banque du Canada fait grimper le taux directeur de 100 points, à 2,50%
• À lire aussi: Hausse du taux directeur: une augmentation des prix des loyers à prévoir
• À lire aussi: Hausse du taux directeur: des impacts sur les familles québécoises
«Quand les taux d’intérêt montent, le coût de financement augmente. Je vous dirais qu’une partie était déjà anticipée, mais c’est une surprise aujourd’hui avec l’augmentation du taux directeur de 1 %», a mentionné le courtier immobilier de Royal LePage, Marc Lefrançois.
Le ralentissement du marché, marqué par la hausse de l’inflation, du taux directeur, mais aussi de la saison estivale, favorise les propriétés dont le coût se rapproche des 300 000 $.
La surenchère est encore présente pour les maisons considérées «abordables», entre 150 000 à 250 000 $.
Le nombre d’inscriptions sur le parc immobilier a augmenté, alors que les demandes ont diminué.
À Rimouski, les ventes ont baissé de 26 % comparativement à l’année dernière, alors que le prix médian des maisons continue son ascension fulgurante. En 2019, le prix était de 195 000 $. En 2021, il a grimpé à 264 000 $ pour terminer à 305 000 $.
Les signes de la cohabitation difficile entre les personnes sans-abri et les résidents de Montréal s’accumulent et font monter le sentiment d’insécurité au sein de la population, mais le président de la Mission Old Brewery soutient que les premières victimes de la crise de l’itinérance sont les personnes qui vivent dans la rue.
«Dans la dernière année, j’ai pensé à me suicider», confie au Journal le cycliste, homme d’affaires et artiste peintre Louis Garneau. Entre le climat toxique qu’il dénonce au sein de la direction de son entreprise et l’épuisement professionnel qui l’afflige, la dernière collection de toiles qu’il a créée lui a permis de s’accrocher à la vie.
Un propriétaire de logements signe un contrat de déneigement pour 2 ans. À son échéance, malgré le bon travail accompli du déneigeur, il décide de ne pas renouveler le contrat et de cesser de le payer en espérant qu’il allait continuer à gratter les cours de ses logements. Le déneigeur refuse de poursuivre bénévolement. Les locataires et leurs voitures sont laissés à eux-mêmes avec plusieurs pieds de neige. Qui les prend en otage? Le propriétaire ou le déneigeur?