Grève des CPE: le statu quo est maintenu
TVA Nouvelles
Québec n’a pas caché son impatience devant la grève générale illimitée déclenchée dans les CPE affiliés à la CSN, mercredi, et a rappelé son souhait de trouver une entente entre les deux parties rapidement.
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Les négociations pour le rattrapage salarial des employés de soutient n’avancent pas et «chaque jour qui passe pour les parents est un jour pénible dans l’organisation du travail», a souligné la présidente du Conseil du trésor, Sonia LeBel.
Mercredi, le gouvernement Legault a assuré qu’il n’était pas question d’imposer la loi spéciale pour le moment, bien qu’il s’agisse d’un «outil disponible», au grand dam des syndicats de travailleurs.
«Si le gouvernement faisait un choix de cette nature, il mettrait une hache dans le réseau parce que les travailleuses le prendraient très mal», a indiqué la vice-présidente de la FSSS-CSN, Lucie Longchamps.
Une enveloppe de 420 millions $ pour les augmentations salariales des éducatrices a déjà été octroyée par Québec dans ce conflit, dont 6 millions $ sont prévus pour rehausser le salaire du personnel de soutien.
En Mauricie – Centre-du-Québec, 700 employées, réparties dans 28 établissements, sont, depuis maintenant 10 jours, en grève. Ce sont les familles de 4000 enfants qui doivent dire momentanément adieu à leur CPE pour une durée encore indéterminée.
Des agriculteurs au bout du rouleau n’en peuvent plus des caprices de la météo, de l’explosion des taux d’intérêt et du prix élevé du transport, qui les empêchent de pouvoir se battre à armes égales contre les légumes moins chers du Mexique en magasin, révèle un sondage explosif obtenu par Le Journal.
Les propriétaires du manufacturier de portes de garage Garaga se portent acquéreurs du Groupe Novatech, sur la Rive-Sud de Montréal, dans le cadre d’une transaction majeure impliquant Investissement Québec et le Fonds FTQ. À terme, la famille Gendreau, de Saint-Georges en Beauce, dirigera un empire de 1 milliard de ventes annuelles.