
Francos de Montréal: Diane Tell, l'élégance rare
TVA Nouvelles
Sur la scène Loto-Québec des Francos de Montréal, Diane Tell a pleinement pu célébrer ses 45 ans avec le public montréalais, qui était malheureusement clairsemé, vendredi soir, en raison d'une météo capricieuse.
• À lire aussi: Le spectacle des Francos de Marc Dupré remis en octobre
• À lire aussi: Francos de Montréal: Que Lumière soit
• À lire aussi: Francos: soirée dansante et trempée
Mais les absents ont toujours tort, c’est bien connu.
Une ambiance très jazzy a accompagné l’arrivée de Diane Tell sur scène, alors qu’elle a immédiatement entonné «Les cinémas-bars». Elle nous a ensuite invités à une véritable balade à travers son répertoire d’hier et d’aujourd’hui.
Plusieurs de ses anciens succès ont réchauffé l’assistance pour débuter la soirée, comme «Souvent longtemps énormément» et «Gilberto».
Il faut souligner l’apport intéressant de Julien Fillion au saxophone, mais aussi à la guitare et à la basse, qui est un atout majeur dans le groupe.
Expliquant que Fred Fortin avait réalisé son dernier album, «Haïku», sorti en 2019, huit ans après le précédent, elle a confié avoir été surprise en entendant «Vie», la première chanson qu’il lui a envoyée, et qui ressemblait étrangement à... du Diane Tell. «Spoiler» va un peu ailleurs, mais reste dans la palette de couleurs auxquelles elle nous a habitués. On a aussi pu découvrir des chansons dans des styles plus inhabituels pour la chanteuse comme «Evolène» ou l’étonnante «Chat».
