Film sur les Expos: une image de la maquette du parc Labatt fait saliver
Le Journal de Montréal
Les amateurs de baseball espérant encore le retour des ligues majeures à Montréal, ainsi que ceux ressentant la nostalgie des belles années des Expos, seront servis à souhait dans les prochains mois avec deux documentaires qui reviendront sur le passé de l’équipe, certains éléments faisant remonter à la surface des souvenirs douloureux.
D’ailleurs, la bande-annonce d’un des films, Nos Amours – La saga des Expos de Montréal, une suite de l’ouvrage du réalisateur Robbie Hart diffusé en 2003 dont la première sera présentée le 18 avril, peut être visionnée sur les réseaux sociaux. Les images sont plutôt éloquentes et permettent de revoir des visages connus, comme ceux des joueurs, Gary Carter, Rusty Staub, Tim Raines, Andre Dawson et Vladimir Guerrero, entre autres, qui ont marqué l’histoire de la concession.
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Toutefois, les partisans peuvent aussi revoir des individus synonymes de moments moins heureux tel l’ancien propriétaire Jeffrey Loria. Et il y a aussi la maquette du parc Labatt, ce projet de stade au centre-ville n’ayant jamais vu le jour. Les Expos prévoyaient initialement y déménager leurs pénates à temps pour la saison 2002 et le montant de la facture s’élevait à environ 250 millions $. Il sera donc possible d’avoir une image plus claire de l’infrastructure de 36 000 places approximativement qui se serait retrouvée à proximité du Centre Bell.
La première de Nos Amours – La saga des Expos de Montréal sera diffusée au Cinéma Guzzo Marché Central en présence d’anciens joueurs du club. Au nombre d’entre eux, il y aura Steve Rogers, Cliff Floyd, Rondell White et Darrin Fletcher, selon l’organisation ExposFest.
Outre le film de Hart, Netflix proposera ultérieurement un documentaire portant plus précisément sur les circonstances du départ des Expos, qui ont déménagé à Washington après la campagne 2004. Jean-François Poisson est le responsable de la réalisation de ce film, fruit d’un partenariat avec l’entreprise de production montréalaise Attraction.
AUGUSTA | Un mot: impossible! Il n’est pas dans votre vocabulaire? Eh bien, pour le commun des mortels, il faut prier. Et fort. Car n’entre pas qui veut au Augusta National. C’est sur invitation seulement comme le confirme l’enseigne aux portes métalliques sur Washington Road. La règle vaut tant pour ceux qui souhaitent enfiler un veston vert que pour leurs invités.
AUGUSTA | Uno, si Tiger Woods est débarqué à Augusta pour le Tournoi des Maîtres, c’est qu’il croit encore viscéralement en ses chances. Il le répète depuis des années. S’il n’y croyait pas un tantinet, il n’y participerait pas. Deuzio, s’il y a une place sur terre où il peut encore gagner, c’est bien au Augusta National, un parcours qu’il connaît comme le fond de sa poche.
À défaut de participer aux séries, le Canadien risque inévitablement d’influencer le portrait des éliminatoires dans l’Association de l’Est. Quatre des cinq derniers matchs de la saison du Tricolore, dont celui de mardi soir face aux Flyers de Philadelphie, sont contre des clubs impliqués dans une lutte sans merci.
Il faudrait avoir la mémoire bien courte pour considérer le Québécois Mike Matheson parmi les 10 meilleurs défenseurs offensifs de la riche histoire du Canadien de Montréal. L’athlète originaire de Pointe-Claire ne fait pas moins partie des 10 différents joueurs du CH à avoir connu une campagne de 55 points ou plus en évoluant à la ligne bleue du Tricolore.