
Entrevue: Brendan Gallagher n’est vraiment pas comme je pensais Entrevue: Brendan Gallagher n’est vraiment pas comme je pensais
TVA Nouvelles
Je me suis toujours imaginé Brendan Gallagher comme un enfant malcommode dans un corps d’adulte. Un gars taquin et hyperactif. Mais je me suis assis avec lui pour une entrevue et j’avais plutôt l’impression d’être avec le père Fouras, ou avec un grand sage dans un monastère.
Je n’écris pas ça méchamment. Je ne me disais pas que Gallagher était un amuseur public. Mais je m’attendais à ce qu’il ressemble un peu plus à ce qu’on voit de lui sur la glace, disons: une boule d’énergie qui ne laisse pas sa place.
Mon collègue Jonathan Bernier le suit depuis le début de sa carrière et n’est pas surpris. Il m’a expliqué qu’il faut toujours être très près de lui pour l’entendre quand il parle. Jonathan constate aussi que Gallagher devient une force tranquille de ce club.
Il n’est pas plate, au contraire. Il est brillant et fascinant. C’est juste que je ne m’attendais pas à des tirades philosophiques de sa part.
J’ai passé 15 minutes seul à seul avec lui dans le vestiaire cette semaine.

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











