
Cinq choses à retenir du retour (réussi) de l'UFC au Centre Bell après 10 ans
TVA Nouvelles
Après 10 ans d’attente, les amateurs montréalais de la UFC en ont eu pour leur argent avec une soirée remplie de combats spectaculaires et de moments forts pour une poignée de combattants québécois. Le vice-président David Shaw dit avoir été impressionné par l’accueil de foule et a assuré qu’il n’attendrait pas un autre George Saint-Pierre avant de remettre les pieds ici. Voici cinq choses à retenir du gala UFC 315, qui s’est tenu samedi soir au Centre Bell.
La soirée s’est terminée avec ce qui pourrait bien être le combat de l’année. L’Australien Jack Della Maddalena a ravi la ceinture de Belal Muhammad dans d'une lutte extrêmement violente qui a fait lever la foule plus d'une fois. La plupart des fans étaient assurés que Muhammad demeurerait roi et maître dans sa catégorie, mais le nouveau champion a sérieusement impressionné avec sa boxe technique et ses pieds agiles. Mais un opposant de taille se profile déjà à l’horizon : Islam Machakev, le champion des poids léger, qui changerait de classe de poids venger son ami Muhammad. «Viens la chercher, la ceinture», a lancé Della Maddalena, le visage aussi accidenté qu’une rue montréalaise après sa victoire étincelante.
On connaissait son penchant pour la bagarre, Pierre Poilievre n’allait certainement pas se priver. Accompagné de sa femme Anaida, le chef conservateur était aux premières loges du gala. Il a serré des mains et pris des selfies avec des partisans avant et entre les combats. Il a particulièrement apprécié lorsque l’Ontarien Mike Malott a démoli l’Américain Charles Radtke par KO. Ce dernier voulait «faire payer» son ennemi Mike Malott pour les huées contre l’hymne national entendues un peu partout au pays depuis l’élection de Donald Trump (un amateur de la UFC lui-même). «Je vais toujours être là pour défendre le Canada!» a lancé Malott après une victoire à l’arrière-goût politique.

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.












