
Canadiens: pas de capitaine à bord?
TVA Nouvelles
Dès son embauche à titre de directeur général des Canadiens de Montréal, Kent Hughes s'est positionné avec aplomb au sujet d'un dossier grinçant, spécialement lorsqu’il est question du Bleu-blanc-rouge: «le Tricolore aura un capitaine lors de la campagne 2022-2023», a-t-il fait savoir en janvier dernier.
La décision de nommer ou pas un capitaine aurait-elle nécessité plus de réflexion? Était-ce des paroles précipitées et impulsives? Lorsqu’il est temps d’analyser la maigre banque de candidatures intéressantes chez le CH, l’interrogation s’impose.
Près de six mois plus tard, qui aura l’imposante tâche de remplacer celui que plusieurs qualifient de capitaine par excellence, Shea Weber?
Attention. Il faut être prudent. Mieux vaut ne pas élire de capitaine plutôt que d’étiqueter la mauvaise personne. Si la Sainte-Flanelle estime qu’elle compte le candidat idéal parmi ses rangs; sortez le Kodak, préparez la conférence de presse et on n’en parle plus.
En revanche, si le plan est de nommer Nick Suzuki dans un an ou deux, lorsqu'il sera plus expérimenté, et de mettre en place entre temps un quatuor d'assistants composé de Brendan Gallagher, Paul Byron, Joel Edmundson et de Nick Suzuki, personne n'y perdra son sommeil.

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











