Élection partielle : PSPP refuse de dire s’il se présentera
TVA Nouvelles
Le chef du Parti québécois, Paul St-Pierre-Plamondon, refuse de dire s’il tentera de se faire élire dans la circonscription de Marie-Victorin, mais presse le gouvernement d’y déclencher une élection partielle.
• À lire aussi: «Si on continue d'imprimer de l’argent...» -PSPP
• À lire aussi: Élections fédérales : les Québécois n’ont pas écouté Legault, note PSPP
«En politique, les choses peuvent changer très rapidement et nous, on veut que le gouvernement se commette à tenir une élection maintenant», s’est-il borné à dire lorsque pressé de questions par les journalistes mardi.
Paul St-Pierre Plamondon ne s’attend pas à se faire offrir un passe-droit par les autres formations politiques qui, selon une tradition parlementaire, auraient pu choisir de ne présenter aucun candidat pour donner une chance à un chef de parti de siéger à l’Assemblée nationale.
«Est-ce qu’on en a besoin et est-ce qu’on la demande? Non, puisqu’il y a déjà d’autres partis qui ont déjà dit qu’ils ne la respecteraient pas [la tradition]», a-t-il expliqué.
En effet, peu importe la décision que prendra le chef péquiste, Québec solidaire aura un candidat ou une candidate sur la ligne de départ dans Marie-Victorin, a martelé le chef parlementaire de la formation, Gabriel Nadeau-Dubois.
«Je pense qu'on serait bien mal placés de dire aux gens de Marie-Victorin: vous n'aurez pas le droit de voter pour nous. Je pense que les gens de Marie-Victorin ont le droit d'avoir toutes les options», a-t-il affirmé.
Il n’est plus nécessaire de recourir à des ouvriers de sept métiers différents pour changer une porte dans une école, se réjouit le ministre Jean Boulet, qui n’anticipe pas de grogne sur les chantiers après sa réforme de la construction. Mais déjà, les opérateurs de machinerie lourde sont «en colère».