
À la date limite des transactions, David Savard a vécu une petite frousse
Le Journal de Montréal
Même si la direction avait été plutôt claire dans ses intentions de garder David Savard, le défenseur du Canadien a poussé un soupir de soulagement à la clôture du marché des transactions.
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Ce qui ne l’a pas empêché de vivre une certaine frousse sur le coup de 15h.
«J’avais allumé la sonnerie de mon téléphone au cas où. J’ai fait le saut quand mon père m’a appelé à trois heures. Il ne s’attendait pas à ce que ce soit si grave. Disons que moi, je pensais que c’était autre chose.»
Autre chose, comme Kent Hughes qui l’appelait pour lui annoncer qu’il devait faire ses valises.
«Tu ne sais jamais. Les choses peuvent changer vite à la dernière minute. Je suis content d’être ici ce matin et d’y être jusqu’à la fin de la saison et de demeurer près de ma famille.»
