
«Là, tab..., dites rien» : le jeu de coulisses qui a attiré Arseny Radkov chez l'Armada
TVA Nouvelles
«Je n’étais pas content quand les Canadiens de Montréal ont repêché Arseny Radkov», confie candidement le directeur général de l’Armada de Blainville-Boisbriand, Olivier Picard, lors d’un entretien privilégié avec TVA Sports.
Avant que vous ne tiriez une quelconque conclusion, l’Armada maintient de très bonnes relations avec son voisin un peu plus au sud. Il n’y avait rien de personnel. Seulement un léger syndrome post-traumatique doublé d’hypervigilance.
Bien avant que le Canadien ne jette son dévolu sur l’intrigant Radkov au troisième tour du dernier repêchage, l’Armada de Blainville-Boisbriand préparait en coulisses la venue du gardien russe.
«Nous, on avait un deal avec [son camp] depuis le mois de janvier», révèle Picard.
L’ennui, c’est qu’une entente verbale avec un joueur étranger est toujours conditionnelle à sa sélection au repêchage européen de la Ligue canadienne de hockey (LCH).

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











