« Mourir peut attendre, mais aller voir James Bond peut moins attendre »
Radio-Canada
Le nouveau film James Bond Mourir peut attendre (No Time to Die) a pris l’affiche ce vendredi au Canada. Ce 25e volet de la saga et le dernier dans lequel Daniel Craig incarne l’agent secret britannique ravira les fans et les autres. Il est aussi très attendu par les cinémas québécois, qui espèrent qu’il poussera les gens à revenir en grand nombre dans les salles obscures.
Mourir peut attendre, mais aller voir James Bond peut moins attendre, a déclaré Eugénie Lépine-Blondeau, chroniqueuse culturelle à l’émission Tout un matin.
Helen Faradji, critique de cinéma à Radio-Canada, a également aimé ce film qui dure environ 2h45. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. Le film est assez réussi et plutôt touchant.
Selon elle, Mourir peut attendre a été conçu pour le départ de Daniel Craig, qui aura incarné James Bond pendant 15 ans. Le film est à la hauteur du moment, on boucle un cycle contrairement aux anciens interprètes et on brasse les cartes pour la suite, qui va être difficile à écrire.
Dans ces nouvelles aventures du plus célèbre des espions, Daniel Craig poursuit l’évolution du personnage entamée dans les précédents films de la saga.
Sans dénaturer le personnage créé dans les années 1950, ce James Bond est bien de son temps. Et on doit remercier Daniel Craig pour ça, a expliqué Eugénie Lépine-Blondeau.
Il a su insuffler moins de machisme, plus de profondeur au personnage. Il a développé un personnage proche de ses émotions, amoureux et sensible.